Dégâts : dégâts de base infligés par le projectile standard.
Zone d'impact : diamètre de la zone couverte par l'explosion du projectile standard.
Approvisionnement : la réserve de munitions de l'arme.
Cadence de tir : nombre de projectiles pouvant être tirés par l'arme dans un tour normal de 3 secondes.
Fiabilité : identique aux règles de base. Néanmoins les conséquences d'un enrayement sur un obusier de 155 mm pose des problèmes bien plus délicats que sur un pistolet, un obus pesant dans les 40 kg à lui seul sans même parler de la charge propulsive.
Portée : portée effective en mètres, voir les notes complémentaires ci-dessous.
Mise en batterie : durée nécessaire pour préparer l'arme au tir à partir de la configuration de transport et réciproquement. Les équipages de pièces mobiles étant formés à se redéployer immédiatement après une ou deux salves pour ne pas être l'objet d'une contrebatterie, il s'agit d'une valeur moyenne qui peut être diminuée d'au plus 20% avec une compétence de l'équipage élevée.
Prix : en Eurodollars. S'agissant de matériel exclusivement militaire, il s'agit du prix facturé par le fabriquant.
Pour des raisons évidentes, la Dissimulation et la Disponibilité ne sont pas listées : aucune de ces armes ne peut être transportée par un homme seul, encore moins être dissimulée sur lui, et il n'y a aucun marché dans la rue pour une arme impossible à transporter discrètement, qui atomise un immeuble pour tuer une seule personne et surtout dont la possession et le recel sont un crime passible de la peine de mort aux mains des corporations comme des gouvernements.
1) Les cadences de tir données peuvent varier nettement par rapport aux armes équivalentes citées dans Maximum Metal, l'auteur s'étant basé sur les valeurs d'armes réelles pour corriger des valeurs sous-estimées par le supplément.
2) La portée donnée dans la description correspond pour les armes à tir direct (mitrailleuses, missiles...) à la portée "Longue" des règles de base. Pour les armes à tir indirect, il s'agit de la portée "Extrême".
RAP - Rocket-assisted projectiles, Projectile Assisté par Fusée. Cette option n'est accessible qu'aux obus de pièces d'artillerie. Le projectile est équipé d'un moteur fusée augmentant de 25% la portée de base. Chaque obus occupe 1/3 d'espace en plus. L'augmentation de coût est de 50%, calculée sur le coût de base. Par exemple, un obus de 155 mm coûte 1000 eb et occupe 1 Espace. L'augmentation de coût sera calculée sur ce prix de base, soit 500 eb, même si l'obus est d'un type amélioré, par exemple à gaz lacrymogène (coût doublé). Le coût total sera donc 1000 x 2 + 500 soit 2500 eb. chaque obus ainsi modifié occupera 1,3 espaces.
Arasaka Hyperfire | ||
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Selon des rumeurs persistantes que seule l'image ci-dessus est venue confirmer, une île non identifiée parmi les milliers de l'archipel du Japon abrite un centre de recherches d'Arasaka co-financé par le gouvernement japonais. Sur cette île serait construit le (les ?) prototype du plus puissant canon jamais construit, un accélérateur Gauss de 60 mm de calibre (ridicule par rapport aux 800 mm du Schwerer Gustav, mais la puissance offerte par la propulsion magnétique est largement équivalente et la portée immensément supérieure). La JMSDF (Japan Maritime Self-Defense Force) aurait l'intention de convertir un de ses porte-avions (le seul type de navire capable de recevoir une telle arme et d'assurer ses titanesques besoins en énergie) pour y installer cette monstruosité et en faire une batterie d'artillerie capable d'atteindre n'importe quel point du globe. La portée de cette arme atteindrait en effet 2500 km, soit environ la distance entre Paris et Moscou. Ce projet (ou en tout cas les rumeurs qui l'entourent) commencent à provoquer de sérieuses inquiètudes dans le reste du monde, particulièrement en Chine et en Corée, car il est murmuré qu'une des clauses de l'accord serait la mise à disposition du Japon du premier exemplaire opérationnel. Les Européens ne sont pas moins inquiets, car la portée d'une telle arme permet de la mettre en batterie dans les eaux internationales. Plus grave encore, le tir d'une arme Gauss ne provoque pas le flash infrarouge d'une pièce d'artillerie ou d'un missile, et le projectile peut aisément être rendu furtif et être équipé de systèmes de guidage (par satellite, par exemple). L'Hyperfire permettrait donc des attaques de "première frappe" aussi imparable que les lâchers d'astéroïdes de l'ESA. En fait, sa vitesse initiale estimée lui permettrait également d'attaquer les installations et satellites en orbite basse. Mais tout cela n'est que rumeurs... On peut d'ailleurs supputer que même avec une informatisation poussée, le personnel nécessaire pour opérer une telle arme doit être à plus d'une centaine. Une fois le canon lui-même au point, ce nombre pourrait être notablement réduit en mécanisant/automatisant certaines tâches. |
Arasaka Tetsubo | ||
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Le Tetsubo (imaginez une batte de base-ball de près de 2 mètres renforcée de clous d'acier et vous aurez une bonne idée de cette arme traditionnelle japonaise) est un lance-missile pour position fixe pouvant être rétracté dans un silo. Développé sur commande américaine comme un système de défense pour bases terrestres et navales, il a remporté un certain succès comme armement de navire, son mécanisme de rétraction permettant de libérer le pont hors des opérations de combat et de dissimuler les capacités offensives réelles du navire. Les missiles sont soit semi-actifs à guidage radar (1700 eb pièce) ou autoguidés par infrarouge (3000 eb pièce). Une combinaison 50/50 des deux est généralement utilisée. Une telle arme est largement automatisée, un seul servant est nécessaire, mais il doit disposer d'un radar avec conduite de tir (indispensable pour les missiles semi-actifs, pour les infrarouge, n'importe quel senseur suffit pour effectuer le verrouillage initial). Les navires US utilisent certainement une version améliorée du système Aegis, soit l'équivalent d'une IA avec conduite de tir et multi-ciblage. |
Bofors Valkyrie | ||
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La Valkyrie est un affût anti-aérien à double canon autonome. Grâce à une stabilisation, il peut être utilisé de l'arrière de son camion de transport ou être mis en batterie en moins de deux minutes. Il dispose de son propre radar d'acquisition, d'un télémètre et d'un viseur infrarouge. Les Forces de Défense Européennes ont acheté un grand nombre de ces armes peu coûteuses et versatiles. L'arme est opérée par un seul tireur mais deux chargeurs sont nécessaires pour le rechargement si on veut maintenir une bonne cadence de tir. |
CCMMC Type 63 | ||
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Dérivé d'un char léger, ce canon mobile est un concept intéressant, mais la construction de piètre qualité dévalue sérieusement son intérêt. Il requiert une équipe de 4 servants et son canon peut être utilisé aussi bien en tir tendu que balistique. |
FN-Arasaka Peacekeeper | ||
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Cette arme démontre à elle seule la longue tradition d'hypocrisie des corpos en matière de "maintien de l'ordre" en dédiant une mitrailleuse lourde à des missions de police et en l'appelant "gardien de la paix". Elle est donc destinée aux forces de police (pour les patrouilles dans les zones de combat, espèrons...) et conçue pour un usage sur affût de véhicule. Un seul servant est nécessaire mais un chargeur réduit le temps de rechargement. |
Mauser Bk-107 | ||
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Canon antiaérien léger classique, le BK-107 a la particularité d'avoir son propre générateur diesel intégré pour alimenter ses systèmes électriques (viseur avec intensification de lumière, moteurs de traverse et d'élevation et ordinateur de visée optionnel), la plupart des autres armes du même type ayant besoin soit d'un réseau d'alimentation extérieur (sur un bateau ou une base), soit d'un véhicule avec un groupe électrogène (la plupart des camions ou véhicules blindés servant à transporter ces armes en sont équipés). Les Forces de Défense Européennes alignent cette arme dans leurs unités terrestres et navales. L'arme est opérée par un seul tireur mais deux chargeurs sont nécessaires pour le rechargement si on veut maintenir une bonne cadence de tir. |
Militech AGM-218 Haymaker | ||
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Le Haymaker ("coup de poing") est une arme de soutien d'infanterie conçue pour être facile à transporter (une jeep suffit à tracter l'ensemble) dans des zones où l'artillerie conventionnelle ne pourrait être déployée. Le lanceur supporte trois missiles à double guidage : optique par une caméra montée dans le nez, ou par désignateur laser. Le panneau de commande est détachable et un câble de 30 mètres permet de lancer et guider les missiles loin du lanceur (et des ripostes inévitables au départ du missile). Un missile AGM-218 Haymaker peut recevoir tous les types de tête offensive listées dans Maximum Metal (la plus courante est la HEAT). Son prix de base est de 2500 eb, et il occupe 3 espaces. Il peut être utilisé par des avions et des hélicoptères. Personnel nécessaire : 1 tireur, éventuellement 1 pointeur pour le laser de guidage. Recharger nécessite 2 personnes, vu la taille des missiles. |
Militech Dark Hunter | ||
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Concurrent du Lancer européen dans la catégorie des missiles de défense terrestre/navale, le Dark Hunter a une meilleure portée, mais coûte plus cher. Les autres performances sont équivalentes. Chaque missile coûte 30000 eb et occupe 3 espaces. S'agissant d'une artillerie fixe, toutes les opérations sont automatisées et mécaniquement assistées, donc un seul opérateur est nécessaire. |
Militech Geneva | ||
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Pour ne pas laisser aux Russes et à leur redoutable Akula le marché du missile anti-navire, les US ont le Geneva. Nettement plus cher (les vieilles habitudes ont la vie dure), il n'a pas les mêmes capacités d'évasion. S'agissant d'une artillerie fixe, toutes les opérations sont automatisées et mécaniquement assistées, donc un seul opérateur est nécessaire. |
Militech Guardian | ||
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Un APEX (voir Chrome 1) sous stéroïdes, pour le définir rapidement. Le Guardian est une tour de 2,5m de haut abritant deux canons rotatifs Gatling GAU-12/U, une caméra de visée avec mode IR et un ordinateur de contrôle. Les Guardians sont généralement commandés depuis un centre de contrôle par un opérateur humain qui valide les cibles et donne les ordres de tir, mais l'ordinateur interne est capable d'agir indépendamment en fonction de paramètres prédéfinis (par exemple, tirer sur toute cible au delà d'une certaine taille ne portant pas un émetteur IFF particuliers). Chaque unité dispose de batteries pour 6 heures d'autonomie, mais est habituellement reliée à une alimentation externe. Une unité Guardian a une armure de 30 PA et 90 PS. |
Militech Mule | ||
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Conçu pour remplacer l'obusier standard de 105 mm, la Mule s'est révélée une alternative peu coûteuse au Haymaker, grâce à sa construction modulaire permettant de le démonter en plusieurs parties pouvant chacune être portée par un homme. En lui-même, l'obusier est assez léger pour être tracté par une jeep. Un autre avantage est le coût réduit de ses munitions : 500 eb l'obus contre 2500 eb par Haymaker. Personnel nécessaire : 4 servants. |
Norinco Type 114 | ||||
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L'artillerie lourde, trop repérable et peu mobile et dont un missile à longue portée peut aisément remplir le rôle, est considérée comme obsolète en 2020. Alors pourquoi les Chinois ont-ils construit ce monstre ? Sans doute simplement parce qu'ils le peuvent. Le Type 114 est un colossal châssis à 16 roues bardé d'amortisseurs et de stabilisateurs pour encaisser le recul. Il faut une heure aux 30 servants pour mettre l'engin en condition de tir. Une maintenance complète de la structure est nécessaire tous les 20 tirs et le canon doit être remplacé après 40 coups. Le rechargement exige un véhicule spécifique équipé d'une grue (chaque obus pèse 700 kg). Malgré ses défauts, le Type 114 se vend bien : sa portée est excellente et ses obus peuvent servir de vecteurs à des armes NBC, ce qui en fait un système d'armes de dissuasion à peu cher. Un obus coûte 2000 eb et occupe 2 espaces. Pour qui voudrait concevoir son propre véhicule porteur (intéressé par un vrai Punknaught ?), le canon occupe 14 espaces et coûte 900 000 eb. |
Norinco Type 207 | ||
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Canon sans recul peu coûteux, le Type 207 est une alternative économique aux missiles pour combattre les véhicules blindés. Son poids modéré et l'absence de recul en font une arme très pratique en combat urbain (cela étant, attention aux projections de flammes à l'arrière !). Il nécessite un tireur et un chargeur, plus éventuellement un ou deux porteurs de munitions. |
Oerlikon Gun-Nest | ||
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Ce système de défense polyvalent comprend un canon à tir rapide de 25 mm et un couvert en acier de 25 PA (50% de protection pour l'arme et ses servants) pouvant abriter une réserve de munition ou une équipe de tir en soutien du canon. L'ensemble est facilement démontable et transportable. Ce point d'appui est une vision courante aux portes d'installations militaires, une rafale de 25 mm pouvant stopper net tout ce qui n'est pas au moins dans la catégorie des VCI. Personnel nécessaire : un servant et éventuellement un chargeur si on veut maintenir une bonne cadence de tir. |
Paneurope Archer | ||
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L'Archer est l'archétype des systèmes anti-aériens légers mis en oeuvres par les forces armées européennes : un conteneur pour 8 missiles à courte portée à guidage infrarouge avec juste l'électronique nécessaire pour programmer la cible (le radar d'acquisition n'est pas inclus. il peut être installé sur le véhicule porteur ou sur un autre au sein d'une batterie). Le tout peut être disposé sur un emplacement fixe ou sur un véhicule (sur l'image, l'Archer est déployé sur l'AMX Lupin, une voiture blindée française). Un seul servant est nécessaire au fonctionnement de l'arme. |
Paneurope Lancer | ||
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Grand frère de l'Archer, le "Lancier" utilise des missiles à moyenne portée à guidage radar (ils peuvent fonctionner aussi bien en tant que missiles actifs, que guidés par un radar externe). Le système complet inclus le radar d'acquisition/guidage et peut fonctionner de façon autonome, sans intervention humaine. L'ensemble étant trop encombrant pour la plupart des véhicules terrestres, il est généralement réservé à la défense de points fixes et aux unités navales. Un missile coûte 25000 eb et occupe 3 espaces. |
Paneurope Zorya | ||||
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Un système d'arme anti-aérien complet incluant un canon Vulcan de 20 mm et 10 missiles VSAM, le tout dans un même véhicule. Equipements spéciaux : radio militaire, GPS, télémètre laser, connexion satellite, système de navigation. |
SCUD II | ||
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* charge utile de 980 kg pouvant inclure des charges NBC. Ceci est une copie (mise à jour technologiquement) du SS-1 SCUD soviétique, le hochet favori des dictateurs. A peine plus élaboré que son inspirateur, le V2 allemand, le SCUD est une fusée guidée par une centrale inertielle interne (donc insensible à toute forme de brouillage) tirée sur une trajectoire balistique pour délivrer à 550 km et avec une marge d'erreur d'environ 50 mètres près d'une tonne de déplaisanteries. Sa précision est ridicule par rapport aux équivalents actuels, mais une tonne de gaz mortel (les armes chimiques sont de loin les moins coûteuses à produire) n'a pas besoin d'une grande précision. Fort heureusement, le SCUD est une cible facile pour les défenses aériennes (il est gros, avec une trajectoire prévisible et aucune défense), donc il ne représente pas une menace sérieuse pour les armées modernes. Cela dit, comme l'expérience de la 1er guerre du Golfe l'a montré, la destruction du missile ne garantit pas celle de la charge, et les fragments peuvent à eux seuls causer de sérieux dégâts. Chaque missile coûte 20 000 eb, plus le coût de la charge utile et occupe 50 espaces. Le lanceur lui-même occupe 60 espaces. Un véhicule lanceur standard est un lourd chenillé terretre, comme la copie du lanceur original MAZ-543 sur l'image, mais il est possible de les monter sur des navires (une rumeur persistante veut que certains navires de commerce aient leurs soutes remplies de rampes de lancement. Pour le bénéfice de qui, mystère). Les système SCUD II sont fréquents en Asie et en Afrique. |
Skoda Dora | ||||
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Obsolète de concept, mais à la pointe de la technologie, le Dora (même le nom reprend celui d'une pièce d'artillerie mythique dépassée dès sa construction) est le meilleur que vous puissiez acheter si vous voulez une pièce d'artillerie LOURDE. Le véhicule porteur, un châssis chenillé tout-terrain Tatra conçu spécialement, peut aller partout où il a la place de manoeuvrer. L'arme elle-même, des stabilisateurs de recul déployés automatiquement au pointage, est entièrement contrôlée par ordinateur. Le rechargement est assuré par un second véhicule de même design de base, avec une grue télécommandée remplaçant l'obusier. A aucun moment un membre d'équipage de l'un ou l'autre véhicule n'a besoin de sortir, ce qui accélère grandement la mise en batterie autant que l'évacuation, et assure une excellente protection du personnel. Quinze servants sont nécessaires pour assurer le contrôle de l'obusier et son réapprovisionnement par le véhicule logistique. |
Soltam M-6 | ||
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Pour défendre ses installations côtières, l'Afrique du Sud a choisi d'ignorer la voie classique des batteries de missiles pour cette pièce d'artillerie colossale (sans doute pour capitaliser sur son expérience : au XXe siècle, les G5 et G6 étaient les meilleurs canons du monde). Si le M-6 peut au premier abord sembler une autre application de technologie moderne sur un concept suranné, il présente certains avantages indéniables : chaque tir coûte notablement moins cher qu'un missile, et un obus ne peut être dévié ou brouillé (les systèmes de défense aérienne modernes peuvent intercepter un obus, mais cela est beaucoup plus difficile qu'un missile). S'agissant d'une artillerie fixe, toutes les opérations sont automatisées et mécaniquement assistées, donc un seul opérateur est nécessaire mais néanmoins une équipe de 10 hommes est affectée à l'arme par précaution. |
Tupolev Akula | ||
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L'expertise russe en matière de missiles anti-navires ne s'est pas perdue en 2020, l'Akula ("Requin") étant sans conteste le plus avancé des engins disponibles sur le marché. Equipé d'un guidage radar actif et d'un viseur terminal optique, l'Akula est capable de maneuvres aléatoires pour dérouter les défenses anti-aériennes. Et sa charge explosive peut désemparer jusqu'au plus gros porte-avion. Ce fleuron de l'industrie militaire russe se vend très bien, en particuliers aux Forces de Défense Européennes, ce qui déplait souverainement aux USA. S'agissant d'une artillerie fixe, toutes les opérations sont automatisées et mécaniquement assistées, donc un seul opérateur est nécessaire mais une équipe de 10 autres spécialistes est présente pour superviser le pointage et le rechargement. |